des parlementaires numérisées par les citoyens
(ces données sont des fichiers tableurs au format CSV utf-8, si vous y trouvez des symboles kabbalistiques, vous employez certainement un mauvais logiciel, utilisez plutôt un vrai tableur)
Les parlementaires l’avaient promis lors des débats des lois sur la transparence : les informations contenues dans les déclarations d’intérêts allaient être en Open Data. Mais s’imaginaient-ils que ce serait la détermination de 8 000 de leurs électeurs qui permettrait de réaliser cette promesse ?
Depuis une semaine, les déclarations d’intérêts de 920 parlementaires sont publiques et téléchargeables sur le site de la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie Publique. Si les importants revenus d’une petite minorité de nos élus ont déjà fait les gros titres de la presse, un bilan global sur les intérêts déclarés et la validité de ces déclarations n’a pas encore pu être établi : en effet la HATVP n’a publié que des versions scannées de ces déclarations manuscrites, préférant attendre le développement futur d’un site de télédéclaration pour pouvoir assurer réellement l’accès en Open Data. En l’état, il n’est donc pas possible de rechercher facilement dans l’ensemble de ces documents, ni de tirer de conclusions statistiques à partir des quelques 11 000 éléments déclarés par les parlementaires.
Comme nous avions pu le faire par le passé pour explorer les auditions des rapports parlementaires, nous avons donc ouvert quelques heures après la publication des documents par la Haute Autorité, un site invitant les citoyens à une opération de crowdsourcing, visant à ressaisir dans un format lisible par tous les intérêts déclarés par les parlementaires. L’intégration de l’outil sur certains sites de presse aidant, l’engouement sur Internet a été très rapide : quelques heures à peine après l’ouverture du site, des milliers de citoyens numérisaient les informations à un rythme frénétique atteignant jusqu’à 14 000 saisies en une heure ! Tout juste une semaine plus tard, la numérisation complète, qui aurait probablement pris plusieurs mois à la HATVP, est désormais achevée grâce à la participation de 7 924 citoyens !
Pour éviter tout risque de vandalisme et assurer une certaine qualité des données coproduites, chaque élément n’a été validé qu’une fois saisi à l’identique par trois utilisateurs différents. Il a en effet fallu mobiliser des compétences d’égyptologues, pharmaciens et autres archivistes pour parvenir à déchiffrer l’écriture de certains parlementaires. Ce sont Nicolas Dhuicq, Xavier Bertrand, Dominique Potier, Ary Chalus et Valérie Pécresse qui ont posé le plus de problèmes : les deux premiers ont ainsi du mobiliser plus de 70 personnes chacun pour rendre certains éléments de leur déclaration compréhensibles.
Observations manuscrites de Xavier Bertrand au sein de sa déclaration d’intérêts
Une première analyse de ces données laisse penser que de nombreux parlementaires n’ont pas encore réellement saisi l’importance de déclarer précisément leurs intérêts. Ainsi, seuls 36 parlementaires (4 %) déclarent avoir exercé des activités de conseil dans les 5 dernières années alors que près du double se déclare avocat, profession dont la majeure partie des activités consiste en du conseil. Et ceux-là n’ont quasiment jamais pris la peine de recenser leurs clients, alors même que c’est des relations avec ces clients que des conflits d’intérêts peuvent émerger.
De même, il est suprenant que 78 % des parlementaires n’aient déclaré aucun intérêt lié à des activités bénévoles : certains sont pourtant membres de nombreux groupes d’intérêts thématiques qui défraient régulièrement la chronique comme ceux liés à la viticulture, la filière porcine ou l’automobile, d’autres organisent ou président des colloques financés par les industries pharmaceutique ou de l’armement. Au vu du tissu associatif français, il semble enfin peu probable que seule une centaine de parlementaires soient membres d’associations ou ONGs. Si ces relations avec une partie de la société civile sont compréhensibles, il serait également légitime que les parlementaires en informent leurs électeurs pour permettre à tous de mieux pouvoir comprendre et évaluer leurs prises de position.
Contrairement aux autres parties des déclarations, les parlementaires ont largement renseigné les informations relatives à leurs collaborateurs : 99 % des parlementaires ont complété cette rubrique. Le voile est donc maintenant levé sur cette profession jusqu’à présent sans statut et pourtant essentielle de la vie parlementaire. L’annuaire des assistants parlementaires réclamé de longue date par les syndicats de collaborateurs va enfin pouvoir voir le jour. On apprend ainsi que 42 % des parlementaires emploient 3 collaborateurs et près de 3000 personnes ont été déclarées par les parlementaires sous ce statut. En revanche, il est surprenant de noter que 2,6 % des parlementaires n’emploient qu’une seule personne.
Question respect de leurs obligations déclaratives, les parlementaires semblent avoir globalement joué le jeu : l’analyse des dates de tampon par la HATVP des déclarations montre que 64 % des déclarations ont été reçues avant le délai légal du 1er février (ou deux mois après début de mandat). 31 % ont été recues moins d’un mois après la deadline et 15 déclarations ont été validées plus d’un mois après le delai légal. Ces retards seraient a priori liés à des échanges entre la HATVP et les parlementaires, un certain nombre d’entre eux s’étant par exemple trompés de formulaire. Pour quelques parlementaires les échanges ont ainsi duré jusqu’à 5 mois avant de réussir à faire accepter leur déclaration par la HATVP quelques jours seulement avant la publication !
Malgré la forte mobilisation autour de ce projet, les données désormais disponibles en Open Data sont encore largement améliorables : ne contenant que du texte brut, tel que formulé individuellement par chaque élu dans sa déclaration, de nombreux éléments manquent de cohérence d’un formulaire à l’autre. Il est par exemple difficile de tirer une vision globale des revenus annexes des parlementaires pour le moment, ceux-ci étant indifféremment déclarés en montants bruts ou net, mensuels ou annuels, etc. Un long travail de qualification, nettoyage et homogénéisation de ces données brutes reste donc encore nécessaire. Mais nous sommes convaincus que l’accès d’ores et déjà à ces données brutes, ainsi qu’à l’ensemble des 86 000 saisies anonymisées réalisées par les citoyens, ouvrent déjà la voie à de nombreux travaux.
Même si un certain nombre d’éléments a déjà pu être recensé sur l’outil collaboratif dédié aux « perles », ces données n’ont certainement pas encore révélé toutes les informations qu’elles recèlent. Gageons que la libération de ces données aujourd’hui permettra d’en exploiter pleinement tout le potentiel !
des parlementaires numérisées par les citoyens
(ces données sont des fichiers tableurs au format CSV utf-8, si vous y trouvez des symboles kabbalistiques, vous employez certainement un mauvais logiciel, utilisez plutôt un vrai tableur)
Il faudrait les obliger à déclarer en ligne, comme ça ils ne pourraient pas faire exprès d’écrire comme des cochons !
Plutôt la version « Fresh » (ou Évolution) , la version stable d’un vrai tableur n’est pas un meilleur choix ??
http://fr.libreoffice.org/download/libreoffice-stable/
Bonne remarque 🙂 Le lien a été récupéré un peu vite, c’est modifié, merci !
[…] 8000 personnes libèrent en une semaine les données manuscrites des déclarations d’intérêts des parlementaires ! Publié Par Vincent Andrès, le 2 août 2014 dans Lu ailleurs La réappropriation du politique par la société civile. L’unique moyen de faire bouger les choses. Un article à lire sur RegardsCitoyens.org […]
Dans les perles, on lit que Jean Germain serait Inspecteur General de l Education Nationale. Si cela est vrai, les remunerations declarees 41K / 54 K etonnent, voire detonnent – meme pour 2010. Le second montant (54 K) correspond (en net) a un niveau inferieur de l Inspection de l education nationale, ou bien il exclut les primes de l IGEN ou de l IGAENR qui sont assez elevees.
Et pourquoi ne pas créer un vrai diplôme d’attaché parlementaire, pour éviter les emplois de collaborateurs familiaux bidon?R333
Nos parlementaires, dont certains sont hélas de vrais bourrins, seraient peut-être un peu plus intelligemment actifs.
1-Les parlementaires sont élus par nous, le peuple.
2-Ils votent les textes et comment certaines professions et les lobbys gagnent toujours? en étant élus ou bien « efficacement » conseillés par ces élus ou bien représentés.
Et nous, nous continuons à voter pour eux , sans demander chaque année un bilan écrit et publié au J.O à nos élus etc etc.
quand je vote, c’est pour confier une mission temporaire à l’élu.J’ai un devoir de regard et lui des comptes à me rendre.
nous sommes vraiment dans 2 mondes à part et le leur me donne envie de voter blanc à chaque élection.
Juste une remarque, si les fichiers encodés en UTF-8 contenait bien le BOM (http://fr.wikipedia.org/wiki/Byte_Order_Mark) il n’y aurait pas de problèmes de compatibilité avec les tableurs.
Bonjour Citoyenne, Citoyen,
Comme vous le constatez je me réfère aux décisions de la Constituante, qui en 1793, décida d’en finir avec l’appellation « Monsieur, contraction du sinistre « MON SEIGNEUR » en usage sous la royauté !
Je me flatte d’avoir, sauf erreur de ma part, été le premier CITOYEN français à avoir, lors d’une émission
par un radio publique (France Inter), dès les années 80/90
salué les participant sous ce vocable.
Je le fis en réaction aux menées anti-républicaines de certains des participants et des dirigeants gouvernementaux…
Tout ceci pour vous dire que je suis de tout cœur avec vous.
Qu’aussi, de ce fait, et parce que, fils de résistant FFI « mort pour la Patrie » (ou pour des nantis et autres profiteurs de guerre ?) je me suis, dès mon plus jeune âge « indigné », certes. Mais surtout INSURGE contre les injustices qui frappent, ,en premier lieu les plus défavorisés.
De ce fait, AUSSI , je suis à même de vous aider dans vos enquêtes.
Par exemple en ce qui concerne les individus suivants, que j’ai approchés de très près :
Alain VIDALIES
Alain JUPPE
Henri EMMANUELLI
Gérard BAPT
Kader ARIF
IZARD (Président Conseil Général 31)
Et bien d’autres de cet acabit ….
Aussi me tiens-je prêt à compléter vos informations sur tel ou tel point qu’il vous plairait de parfaire.
C’est donc à vous lire, ouïr, voire rencontrer que je vous adresse mes civilités solidaires les plus sincères.
Serge Gilbert ACQUIER ce lundi 4 août 2014 à 9h50.
NB : j’ai déjà adressé un courriel vers Toulouse, sans réaction à ce jour.
[…] plusieurs milliers d’internautes, a procédé à une véritable numérisation, en open data. Vous pouvez consulter cet énorme travail cela […]
@Pierre : Le BOM reste une rustine inefficace avec la plupart des cas. Cela règle le problème avec certaines versions du tableur propriétaire majoritaire sous son OS de prédilection, mais pas sous la distinguée concurrence par exemple et crée au contraire des soucis avec la plupart des outils de lecture de csv autres que les tableurs. Par ailleurs, inciter les gens à employer des logiciels réellement conçus pour manipuler des fichiers en formats ouverts et non pour les enfermer sous des formats propriétaires est au cœur du plaidoyer pour l’open data de notre association.
@Serge : Une réponse à votre e-mail est dans notre longue pile d’en-cours et vous parviendra prochainement. Étant tous bénévoles, nous ne pouvons être aussi réactifs que nous le souhaiterions à l’ensemble des sollicitations.
Travail colossal et très instructif. Mais il serait bon en effet, si l’on veut une vraie transparence, que les parlementaires, ministres et hauts fonctionnaires indiquent leurs principales implications dans des activités non rémunératrices. Je pense par exemple aux associations, mais aussi à l’appartenance de beaucoup à la franc-maçonnerie qui serait très éclairante. Dans d’autres pays, c’est public, chez nous un secret bien gardé. Pourquoi? Là est la question.
[…] 8000 personnes libèrent en une semaine les données manuscrites des déclarations d’intérêts de… […]
@Roux: Je suis désolé, mais si vos outils ne sont pas capables de lire correctement des fichiers UTF-8 formatés correctement, ce n’est pas la faute des autres outils. Cela doit faire environ 10 ans que le noyau Linux traite correctement ce problème, et non pas une quelconque « magie » d’une auto détection qui pourrais se révéler fausse elle aussi.
Ensuite, je pense qu’il ne faut pas tout mélanger l’open-data en est une, l’open-source en est une autre. Car dans l’open-data, l’important c’est la donnée et non pas l’outil. Sinon pour le truc du tableur, c’est vous qui indiquez dans votre texte qu’il s’agit de fichiers pour tableurs….
Sinon des outils normalement spécialisés dans la manipulation de fichier Unicode qui ne reconnaisse pas les BOM, cela à plus tendance a me faire peur qu’a me rassurer. Ensuite pour moi la promotion des logiciels open-sources doit se faire sur leur valeurs intrinsèques et non-pas juste pour leur aspect open-sources.
@Pierre: Un fichier CSV en utf-8 sans BOM est tout à fait formaté correctement et reconnu comme tel par 95% des outils et logiciels. En revanche, bien qu’ils soient également prévus pour les tableurs, pour manipuler des CSVs rapidement, il est fréquent de ne pas même les ouvrir dans un tableur mais directement en mode texte brut. Devoir gérer le BOM dans ces cas est généralement très pénible, alors qu’il n’apporte absolument rien aux outils tableurs autres qu’Excel sous Windows.
Concernant l’OpenData et le logiciel libre, ils sont intrinsèquement liés de par leurs définitions respectives et notamment par les licences libres et formats ouverts. Chercher à faire de l’OpenData avec des outils non libres relève du choix de chacun mais c’est généralement une sacrée perte de temps pour le producteur comme pour le réutilisateur.
Ce que je pige bien évidemment !
A propos : je fus AUSSI parmi les victimes « AZF…isées »
Et, à ma connaissance le SEUL à avoir subi et constaté
TROIS explosions (et non deux!) .
Demandé à l’alors ONM (la météo) communication des analyses
SYSMIQUES afin de mieux suivre, en temps réel reconstitué,
l’évolution des faits.
Réponse (mensongère ?) de trois interlocuteurs successifs : … »ces appareils étaient en panne à ce moment-là !… »
A vous de réfléchir.
Par la suite j’ai contacté plusieurs avocats engagés: soit auprès des sinistrés (dont un, membre « actif » (en quoi?) du PS, aussi bien que du groupe TOTAL : j’attends toujours leur réaction .
Curieux, non ?
Civilités humanistes
Lou Destrabat ce 4/08:2014
[…] qui aurait évité à huit mille personnes de travailler sur les déclarations d’intérêt des parlementaires français, soit dit en passant. […]
C’est bien beau que ces données deviennent en Open Data mais faut-il que cela fonctionne pour que l’on puisse les consulter.
Se sont tous ces ministres, députés, qui cumulent et font profiter les membres de leurs familles entres autres Copé, Lemaire, et j’en passe. Son épouse artiste peintre employée pendant 6 ans à ces cotés. « chercher l’erreur ». Et tous ce monde parle de reforme. Ils se savent protégées eux et leurs proches. Ils veulent juste le pouvoir, remplir leurs comptes en banque et le reste ils s’en moquent littéralement. Je vous rassurent je ne fais pas de généralité encore moins du populisme. Les faits parlent d’eux même. Voilà pourquoi les citoyens sont désabusées et ne croient plus les politiques. Cela me désole, c’est pourtant une triste réalité.
Il est vraiment tant de tous remettre à plat. Que tous ce monde reviennent à la réalité. Il faut prendre exemple sur les pays voisins. Comme l’Allemagne, la Suède. Bref repensé la place du politique.
[…] Afin de permettre à tous de pouvoir explorer ces informations en OpenData, Regards Citoyens a proposé une interface de crowdsourcing permettant de numériser l’ensemble des déclarations en une semaine grâce à la participation de près de 8000 personnes :http://www.regardscitoyens.org/8000-personnes-liberent-en-une-semaine-les-donnees-manuscrites-des-de… […]
@darthieul
1) La profession d’assistants est en réalité déjà en voie de… professionnalisation. Il existe déjà des diplômes (principalement à Paris mais également en province) formant explicitement au travail de collaborateur parlementaire. Les emplois familiaux de complaisance sont en réalité assez rares sur les 3.000 et qques assistants. Mais on en parle comme avec l’histoire du train qui n’arrive pas à l’heure.
2) Par ailleurs le métier d’assistant ne peut faire l’objet d’un concours car il s’agit d’un contrat de droit privé: l’élu peut y mettre fin à peu près à tout moment, et doit pouvoir recruter qui il veut (logique politique).
Dernier point, s’adresse @Huger, aucun pays ne demande d’information sur une appartenance à la maçonnerie. C’est logique il n’y a aucun moyen de contrôle (les FM ne sont pas tenus de dire la vérité et la contrôler signifierait devoir enquêter sur l’association en question, ce qui va au-delà de la transparence, et justifie des mesures très très limites.
[…] via8000 personnes libèrent en une semaine les données manuscrites des déclarations d’intérêts de…. Share this:TwitterFacebookLike this:J'aime chargement… Catégorie : Democratie […]
[…] Autre moment politique, la publication fin juillet des déclarations d’intérêts des parlementaires par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP). Peu de surprises chez les Alsaciens, beaucoup de cumulards et les emplois en famille se pratiquent pas mal chez les élus du Haut-Rhin. Selon Mediapart, 20% des députés emploient un proche à l’Assemblée Nationale. Regards Citoyens, qui a lancé une campagne de numérisation de ces données publiées n’importe comment par la HATVP a débuté le travail de synthèse. […]
[…] son ensemble donc, cette base de données qui est le fruit de l’effort de près de 16 000 mains est aussi remarquable qu’un peu monstrueuse. Monstrueuse au vu du nombre d’acteurs qui […]
[…] the MPs by hand, making some of them almost illegible, according to Le Figaro. A group of citizens, Regard Citoyens, decided to transform these data through crowdsourcing methods to make them useful for the general […]
[…] 8000 personnes libèrent en une semaine les données manuscrites des déclarations d’intérêts des parlementaires, Regards Citoyens, août 2014 http://www.regardscitoyens.org/8000-personnes-liberent-en-une-semaine-les-donnees-manuscrites-des-de… […]
Travail gigantesque et d’autant plus intéressant que nous traversons une tempête d’invectives argumentée de références diverse et variées. Grâce à cette « œuvre » nous avons accès à des données réelles et vérifiables !
Affaire Fillon et Cie. Non les journalistes n’ont pas menti.
Merci Regards Citoyens.
[…] fichiers PDF ne sont pas des données ouvertes. C’est pour cela qu’ils ont lancé une grande opération de numérisation par les citoyens qui a permis, en une semaine, de produire un fichier CSV ouvert contenant toutes […]
[…] plusieurs milliers d’internautes, a procédé à une véritable numérisation, en open data. Vous pouvez consulter cet énorme travail […]