mardi 25 mai 2010

LeMonde.fr propose une rediffusion de la conférence « Hacking the law » qui s’est déroulée à Pas Sage en Seine le 15 mai 2010. Benjamin Ooghe-Tabanou, co-fondateur de Regards Citoyens, y exposait notre travail.

Visionner la vidéo sur le site du Monde

Enregistrement par La Cantine avec UbiCast


dimanche 23 mai 2010
Atelier des médias

Ziad Maalouf de l’Atelier des Médias a invité Tangui Morlier, co-fondateur de Regards Citoyens, à intervenir dans son émission réalisée depuis la conférence Web Diversity 2010. Christophe Ginisty, le président de Internet Sans Frontières et Edwy Plenel, président et fondateur du journal en ligne Mediapart, étaient les autres invités de cette émission dédiée à l’Internet et la démocratie. Extrait ci-dessous :

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L’émission complète et son bonus sont disponibles en ligne.


mardi 18 mai 2010
France-Antilles
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vendredi 14 mai 2010
L'Atelier

Pour amener les citoyens américains à s’approprier les données gouvernementales disponibles sur le web, il faut leur permettre d’accéder librement à une plate-forme en ligne attractive et bien organisée. Fort de ce constat, le Sunlight Labs lance un concours d’innovations, pour inciter les développeurs à construire des outils pertinents en utilisant des données gouvernementales mises à disposition. Cela afin de proposer aux citoyens un site présentant les données publiques de façon intelligente et accessible. Avec en perspective la volonté d’encourager le processus de transparence démocratique. « Ce n’est pas la première initiative de ce type dans le monde anglo-saxon », explique à L’Atelier Tangui Morlier, du site regardscitoyens.org, qui se propose notamment de rendre accessible aux citoyens français l’activité parlementaire. Selon lui, le mouvement ne vient – ne peut venir que – de la société civile. « Et si celle-ci crée des applications, elles correspondront d’autant plus aux exigences citoyennes », précise-t-il.
Pour le spécialiste, libérer ces données ouvre tout un champ de création et d’innovation. « Cela fait des années que l’Etat possède des données démographiques, socio-économiques, environnementales, indispensables pour la conduite du pouvoir », s’exclame-t-il. Tout en regrettant que les citoyens n’y accèdent que très partiellement encore. […]

par Basile Segalen
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mardi 4 mai 2010

Tangui Morlier explique à la caméra de Nils Oj et Josselin Perus les travaux du collectif Regards Citoyens.


Tangui Morlier sur l’initiative NosDeputes.fr
from Nils Oj on Vimeo.


Tangui Morlier sur l’exploitation des données publiques
from Nils Oj on Vimeo.
La loi à laquelle il fait référence est la loi CADA de 1978.

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vendredi 9 avril 2010
LePost.fr

Les citoyens peuvent-ils participer directement à l’élaboration de la loi ? L’Assemblée nationale semble s’ouvrir peu à peu aux contributions du public. Depuis septembre 2007, chacun peut poster sur un site dédié ses commentaires à propos du vaste chantier de la simplification de la loi. Certaines de ces contributions sont rendues publiques. Un espace libre de discussion « les Forums de l’Assemblée » existe également. Une nouvelle étape s’ouvre avec le site consacré aux études d’impact. […]

Joint par Le Post, Benjamin Ooghe-Tabanou, du collectif Regards citoyens, groupe de citoyens défendant la démocratisation des institutions, juge que cette initiative « va dans le bon sens ». Son collectif avait mis en place « Simplifions la loi 2.0 », son propre espace de discussions, sur le chantier de la simplication de la loi ainsi que sur la Loppsi (loi d’orientation et de programmation pour la performance sur la sécurité intérieure).

Mais il pointe une différence avec les dispositifs proposés de l’Assemblée. D’une part, avec « Simplifions la loi 2.0 », les internautes peuvent commenter « article par article » les textes de loi, d’autre part, ce sont les textes débattus dans l’hémicycle qui sont directement mis en discussion.

Sur la nouvelle intiative de l’Assemblée sur les études d’impact, Benjamin Ooghe-Tabanou regrette également que « toutes les contributions ne soient pas rendues publiques ». « On ne peut pas savoir si le public s’implique ou pas », ajoute-il.

Autre problème : les contributions sont pour l’heure à sens unique. « On ne sait pas si on aura des réponses » des députés, constate Benjamin Ooghe-Tabanou. […]

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vendredi 26 mars 2010

franceantilles

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vendredi 12 mars 2010

La-Croix.com

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vendredi 12 mars 2010

Owni.fr

Depuis des mois, nous avons cherché, avec l’aide de toutes les bonnes volontés disponibles, à géolocaliser les bureaux de vote et à rendre cette base de donnée et ce service gratuits, ouverts, libres. C’est une première qui appellera de nombreux autres services, publics, citoyens, dans la seule limite de nos imaginations ! Pour les régionales : et si vous invitiez vos amis à aller voter (avec vous ?!) en leur offrant un outil open-source ? […] Aujourd’hui, nous sommes fiers de vous proposer une application permettant de trouver votre bureau de vote et celui de vos amis : Où je vote sur Facebook. […]

Les résultats ne sont pour l’instant fiables à 100% qu’à Paris. Le traitement des autres départements va de 0% pour ceux qui ne nous ont pas donné les documents nécessaires à 61% en Loire-Atlantique. […]

Grâce à un effort collaboratif mené avec Regards Citoyens, plus de 7 000 adresses ont été saisies à la main. Au final, la quasi-totalité des bureaux de votes en France métropolitaine et en Corse ont été intégrés dans une base de données librement téléchargeable en ligne.

Malgré ce succès, la manière même dont les documents étaient rédigés rendait toute exploitation difficile. En utilisant l’interface de géocodage de Google (qui transforme des adresses en coordonnées latitude/longitude), nous avons pu placer la plupart des bureaux sur la carte. Mais lorsque les documents envoyés par la préfecture mentionnent un bureau ‘dans le réfectoire de l’école’, difficile de le localiser avec précision.

Aux Etats-Unis, Google a sorti ce service en 2008. En France, seule la ville de Lyon permet à ses administrés de trouver leur bureau de vote en ligne. Sans la participation plus active des administrations, le retard ne pourra que se creuser.

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mercredi 10 mars 2010
LeMonde.fr

Toutes les dix minutes, un spectateur sort, dévale l’escalier et récupère son ordinateur portable au vestiaire, se connecte à Internet et recopie le plus vite possible quelques messages écrits à la main dans les tribunes, qui sont ensuite publiés via Twitter sur le site Regardscitoyens.org. Qui sont ces spectateurs pas comme les autres ? Un petit groupe de passionnés de politique… et d’informatique. […]

[…] « Nous venons tous les deux de l’activisme en faveur du logiciel libre« , note Benjamin Ooghe-Tabanou, « mais ce n’est pas le cas de tous les membres. » […] S’ils ne viennent pas tous du monde du logiciel libre ou même de l’informatique, les membres de Regards citoyens s’inspirent largement de cette philosophie. Ils tentent d’appliquer à la politique des valeurs – transparence des sources, possibilité de modifier ou de réutiliser – et des méthodes de travail collaboratif inspirées de leur pratique de la programmation. Là où certains voient une montagne de textes – propositions de lois, historiques de vote, activité des commissions parlementaires – eux voient de gigantesques bases de données à analyser.

Parmi leurs projets en cours, un recensement des bureaux de vote en France, pour lequel Regards citoyens fait appel aux internautes afin d’éplucher une montagne de documents préfectoraux au format PDF, une campagne sur le libre accès aux données publiques, une enquête sur la pratique du « vote de groupe » au Sénat, qui permet à un sénateur de détenir autant de procurations de vote qu’il le souhaite… « Le vote de groupe est une pratique anormale, et ne favorise pas le débat démocratique« , estime Benjamin Ooghe-Tabanou. « A quoi bon s’impliquer dans les débats ou essayer de convaincre d’autres élus si l’on ne partage pas l’opinion de son groupe ? Les sénateurs absents donneront de toute façon leur vote au délégué du groupe.« 

L’absentéisme des élus – « le présentéisme, plutôt » – a été le premier cheval de bataille de Benjamin Ooghe-Tabanou et Tangui Morlier. […] Depuis, ils ont créé avec les autres membres de Regards Citoyens un deuxième site dédié qui propose des fiches détaillées résumant l’activité des députés, générées à partir des données du site de l’Assemblée nationale.

D’autres chantiers sont en cours, qui avanceront au gré du temps dont disposent les membres du collectif, « pour coder« . « Nous avons une longue liste de projets pour les mois à venir, avant les vacances parlementaires« , note Tangui Morlier. « Il ne nous reste plus qu’à les dépiler [résoudre une liste d’action en langage informatique]. » […]

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