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Chez Regards Citoyens, son cofondateur Benjamin Ooghe-Tabanou m’indique que « le choix de la licence ODBL, traduite pour l’occasion en collaboration avec la communauté du libre, est à notre avis doublement important: en choisissant de réutiliser une licence déjà existante plutôt que d’en écrire une nouvelle, Paris assure une certaine pérennité et évite la dispersion et l’insécurité juridique liée à la création de nouvelles dispositions.
Le choix de cette licence de type coproductif assure par ailleurs le libre accès aux données par tous, ainsi que la réutilisation y compris pour des usages commerciaux dans le cadre redistributif de la licence. Cela permettra à n’importe quel projet innovant de pouvoir se développer sans contrainte financière et juridique, tout en laissant la possibilité à la Ville de signer des accords payants pour la réutilisation de ses données avec les grosses entreprises qui ne souhaiteraient pas redistribuer les données modifiés. Tout le monde est ainsi gagnant ! »
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